lundi 1 mars 2010

Je m'appelle heyl, description

  Je suis un Flyer. Je suis né de l'association du Ciel et de la Terre. Pour que vous compreniez mieux, je vais tenter de me décrire (ce qui , pour moi, est un exercice fastidieux tant pour la langue que pour la description elle-même).
  Pour commencer, je suis blond aux yeux noisette. Je suis grand, deux mètres trente sept, comme tout les autres mâles Flyers. Les femelles, elles, font toutes deux mètres trente six centimètres et trois millimètres. Je pense que vous aurez pu deviner que je ne suis pas humain, même si je leur ressemble.
  Je ressemble aussi aux chats. Je suis gracieux et j'ai un sens de l'équilibre infaillible. Et puis j'ai une queue. Je suis le seul bipède a en avoir une. Ce n'est pas utile, mais les cheveux non plus ne sont pas utiles. J'ai des crocs. Des canines, bien sûr, mais des crocs aussi, derrière. Je peux cracher aussi, comme les chats, mais, ça encore ce n'est pas utile. Entre nous, ça fait mal à la gorge. Je dit que c'est pas utile, de cracher, parce que, pour les chats c'est un moyen de défense, mais personne n'attaque les Flyers, jamais. Sauf les humains. Je ne comprends pas les humains. Ils disent qu'ils étaient là avant nous. Je veux bien, mais nous sommes là maintenant et nous ne les embêtons pas. Nous n'entrons jamais dans leurs villages, nous ne touchons pas à leurs élevages puisque nous sommes végétariens (la fille du chef dit que c'est herbivore, mais pour moi, c'est pareil),de plus on a nos propres potagers, alors, leurs champs, on les ignore.
  Moi je pense qu'ils ont peur de nous, les humains. La fille du chef dit qu'ils considèrent toute la planète comme la leur. Comme si l'on pouvait posséder une planète. De toutes façons ils ont peur de nous parce qu'on leur ressemble pas. Je parle pas seulement de la queue et tout ça, ils acceptent bien les Centaures (peut-être parce que ce sont de bons médecins). Je parle des ailes. Jusque-là elles ne servaient qu'à nous donner de l'élan. Elles ne sont pas là d'ailleurs. Enfin, si. Disons qu'elles ne sont pas toujours visibles. C'est comme si, fermées, elles ne reflétaient plus la lumière. Ces ailes, se sont un peu des ailes de papillon. Elles se referment de la même manière et, ouvertes, elles y ressemblent. Elles ont l'air petites par rapport à nous. Elles ont un air violet, indigo, translucide et ne font qu'en mètre carré (j'avais bien dis qu'elles étaient petites) environ...

2 commentaires:

  1. "[...] tenter de me décrire (ce qui [...]" pas d'espace après la parenthèse.

    "[...] mal à la gorge. Je dis [...]" espace après le point.

    "Je veux bien, mais [...]" faute de frappe sur le je et espace après la virgule.

    "Et puis on a nos propres potagers [...]" Manque la majuscule. Au passage, je pense qu'il y a un peu trop de 'et puis' dans le texte alors je te propose une modification de phrase tu t'arranges comme tu veux ensuite "De plus, nous possédons nos propres potagers [...]".
    "Et puis de toutes les façons" choisis soit 'Et puis' soit 'De toutes les façons' les deux ensemble ça fait un peu trop. "[...] peur de nous parce qu'on ne leur ressemble pas."

    "[...](peut-être parce que ce sont [...]" espace tout simple entre parce et que.

    voilà Je pense qu'il faudrait décrire un peu plus les ailes, c'est tout ^^

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  2. Merci pour la correction.
    Description des ailes approfondie, même si elle n'était pas sur la lettre de base.

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